Sus à Karkorin

Chapitre débuté par Jacky Connor

Chapitre concerne : jimmyreed, Kaivayne, Karkorin-la-Bleue, Rouxflaquettes, Jacky Connor, Mike, Tonton Roy, sebright, britney, bizz, mérédith, klauss,

L’information avait fait l’effet d’une bombe dans les hormones tumultueuses de Jacky. A l’est, enfin, par là avait dit Bradelaid, une certaine Sussada vous emmenait pour pas cher pour un rendez-vous privé. Le timing était parfait. Jacky et les autres étianet revenus depuis peu de leurs expéditions ultra-marine, les cales et les bourses pleines. Les deux n’avaient pas pu être vidées.

Ni une ni deux, Jacky ne mis pas longtemps à motiver ses fidèles congénères. Même Kayvayne était de l’expédition. Ca n’arrangeait pas Jacky cependant. Kayvayne était le plus beau de la famille, il lui ferait de l’ombre avec madame Sussada. Malgré tout, Jacky restait le plus agé même en comptant son jumeau Mike né quelques mois après lui.

Le Trajet pour la Zad avait été encore plus facile.

 

- C’tout droit, avait dit Bradelaid, l’autre beau gosse de la famille. Alors jacky avait mis le cap tout droit, par là.

 

Dans les cales ils avaient trouvé la mocheté qui ronquait là. Faudrait faire avec. Jacky lui avait dit de fermer sa gueule déjà, et de cacher sa tronche autant que possible.

Ils avaient croisé le frangin Roy sur le chemin, une bonne occasion de le prendre à bord.

 

- Britney, file dans l’pirogue comme ça on verra plus t’gueule.

 

Abandonnant la jeune Connor au milieu du fleuve, Jacky avait filé, tout droit, par là.

En fin de journée ils avaient enfin la ZAD en vue. Excité par l’idée de se faire sucer Jacky avait foncé. Machine à fond, droit vers la ZAD.

 

- Sussada nous voilà !

Ce texte vaut une bière !
La jeune conor était dans le bateau, elle apprenait à le manier, il était important d'apprendre un manier un engin pareil afin d'éviter de le planter n'importe où. Elel se trouvait dans la cabine de pilotage analysant la carte ainsi que tous les boutons... Tout d'un sans prévenir elle fut violemment attrapée, le livre tombant dans un fracas. les cheveux en bataille et bougeant les bras comme un beau diable... Mais la faiblesse de la jeune Conor aura raison de sa tentative d'évasion, son oncle est bien trop fort pour qu'elle puisse y faire quoi que ce soit. C'est dans un silence assourdissant au millieu de la nuit qu'elle se retrouve sur une pirogue au milieu de l'eau et qu'elle se rend compte avec effrois que son oncle, pensant plus avec sa bite que son cerveau, se ditigeait dans la mauvaise direction avec un bateau qu'il ne savait absolument pas piloter ! La jeune Conor paniquée hurla à pleins poumons si fort qu'elle manqua de s'en rompre la voix. 

TONTON C EST CHEZ MADAME LEXIE LA PAS CHEZ LA DAME QUI SUCE !! 

Trop tard ils étaient trop loin, sa voix se perdait sur les eaux d'une riviere si calme qu'elle en devanait glaçante, seul un petit chant pouvait se faire entendre au loin, sur le bateau qui avait déjà pris beaucoup rop d'avance 

♪ On va se faire sucer ! On va se faire sucer ! ♪
 

La panique pris tout un coup possession de la frêle jeune fille, elle voyait le malheur arriver et pourtant impossible de les arreter ! Elle tenta dans un dernier élan de rattraper le bateau... Avec suffisemment de force et d'entrain elle pouvait y arriver ! Elle devait y arriver avant que le pire n'arrive et que sa famille ne fasse n'importe quoi, Elle pris une grande inspiration et se mis à pagayer, pagayer si fort , si vite... Ses fins bras étaient des fournaises et lui faisaient de plus en plus mal mais elle ne pouvait s'arreter, son souffle devenait de plus en plus chaotique, son coeur battait à s'en rompre, Elle donnait tout, tout pour arriver avant sa famille chez lexie mais est ce suffisant ? 

Ce texte vaut une bière !
Lorsqu’il avait appris que Bradelaid avait eu les faveurs d’une bombasse latino contre juste de l’essence et que ça avait aussi tapé dans le petit cerveau d’en bas de Jacky, Tonton Roy qui venait de se taper des mois d’abstinence en pirogue à se contenter d’enculer de gros poissons-chats avait hurlé présent à la virée sans hésiter.

Il attendait…Enfin il trépignait… « Un heure ou deux » ils avaient dit…
Seul à bord de sa pirogue à regarder la flotte opaque et écumeuse, il se faisait déjà des films, des scènes de hard sex incontrôlables lui parcouraient l’esprit…Cohabitant avec une érection rageuse insoutenable.
Il attendait, trépignait…Et pendant ce temps sa queue commençait à suivre la même course que le soleil, elle s’affaissait doucement vers l’horizon…


- Mais qu’est-ce qu’ils foutent putain ?...

*Coup d’œil sur Samantha… son poisson-chat préféré*

Un nuage de vapeur jamais vu auparavant provenant du Nord-Ouest se rapprochait doucement, s’élevant au-dessus de la verdure et suivant la course des bras de mangroves…
Roy resta scotché à la vue de la nouvelle embarcation. Une espèce de boite de sardine géante flottante faite de tôles assemblées à l’arrache avec un long tuyau dont s’échappait la fameuse fumée blanche, surplombant une espèce de gros moteur au charbon pétaradant.
A bord des silhouettes familières.

 - La vache…Les frangins !

L’engin flottant se laisse glisser doucement jusqu’à sa pirogue mais s’arrête pas…Obligeant Roy à se jeter comme un con sur le côté pour pas se faire éclater lui et sa pirogue…

- Crack ! Dit sa cheville.

- Putain d’MERd’ ! S’écrie le proprio.

Après quelques échanges neuronaux très riches comme à l’habitude en famille du genre :

- Bah euh..
- Pff putain…
- Désolé, pas eu le temps de monter les freins huhu…
- Woué…


Après être monté à bord tant bien que mal, l’engin diabolique reprend aussitôt sa course folle vers…

- Bon on va où maintenant ?

- TOOOOOUUT DROOOOOOOOOAAAAAA !!
Les aventures orientales de Bradelaid, tel un nouvel Macron Paupolo s’étaient propagées de bouche à queue dans toute la fairme. Il existerait une cité légendaire dans l’est où les habitants ne demandent qu’à combler les désirs des étrangers.
Tel un nouveau Macron Paupolo, Tonton Jacky ivre d’une passion asiatique inassouvie s’était élancé à bord d’une toute nouvelle nef à vapeur, technologie dernier cri gracieuseté de la famille Quesada.
Sebright voyait son tonton Jacky donner des coups de barre répétitifs comme s’il était en transe, actant et pensant probablement aux bénéfices marginaux dont il allait gratifier tous ces nouveaux orifices en attende béante là-bas. Avait-il seulement lu le manuel d’instruction, savait-il lire?
La réponse fut brutale, avec grand fracas, contre les murailles, enfin d’un château de sable, nous étions rendu à destination selon les dires de Jacky aveuglé par ses blue balls , il ne voyait pas la bleue.
Jacky s’était élancé à l’avant, il faut toujours suivre sa famille et non le contraire; du moins j’ai bien appris que ne faut pas que ce soit Jacky qui te suive. Jacky avait fait un branle le bas de combat général. Il était tellement charismatique que c’est sans aucune effusion de sang qu’il était devenu chef de toute la communauté. On nous avait donnés les rênes de la communauté.
Nous étions bien dans un pays où tous nos rêves deviennent réalité. Dès que j’ai entrevu une baraque à Fritz, je n’étais pas le seul qui a pu contenir mon envie de goûter à nouveau cette spécialité culinaire.
Nous étions dans la ville mutique, ceux qui ne voulaient parler, et non la ZAD.
J’aurais bien tenté de convaincre tonton Jacky de cela, mais ça aurait été peine perdue.

Une autre peine perdue aurait été de laisser de l’eau. Tout bon fairmier le sait ;
On arrose où l’on a mis une graine et Jacky n’a pu ensemencé aucun petit trou ici.
À de multiples reprises, lorsque Jacky a demandé, les intéressés ont préféré garder leur petit trou pour eux. Qu’ils soient contents, ils ont encore les trous du cul qu’ils chefrissent tant.


 
 

Les rumeurs de la mystérieuse pipeuse avaient atteint la Roussie. Une certaine Soussada qui taillait des pipes contre 3 francs et six sous. Une affaire en or, une affaire capable de révolutionner le monde, une affaire qui plongea la rousse famille dans des excès d’excitations. A peine, l’information ramenée par l’oncle Bradelaid que la famille était sur le départ. Cette Soussada était peut être l’élue, celle dont la bouche peut ramener la paix dans le monde. Il n’y avait qu’un moyen de le savoir, et ça seul tonton Jacky pourrait le savoir. Marchant d’un seul pas, les provisions furent chargées sur le navire, dans des cas de force majeure comme celui-ci, la famille pouvait être drôlement organisés et efficace. Intelligent, oui puisqu’on vous le dit ! Des armes avaient même été chargées, une chinoise mexicaine capable de tailler des pipes à tout un canton, ça peut attirer les convoitises. Et comme le disait le grand Steven Seagal « la meilleure défense, c’est mon poing dans ta gueule ».

 

 

 

Plusieurs heures plus tard, le navire était lancé sur les eaux poisseuses du Darfour. L’agitation semblait aller crescendo dans la famille. La promesse de la pipe peu chère les rendait dingues. Le sexe chez les Connor, c’est le sang pour les requins. Tu veux appâter un Connor enduit un chiffon de foutre, il viendra sûrement l’enculer tôt ou tard. Kaivayne lui n’était pas frappé par l’excitation de l’orgie en perspective. Oh que non, il était sur la proue, un pied sur le bastingage, le regard fixé vers l’infini. Non il semblait juste penseur et plongé dans des réflexions méta-physiques pouvant ébranler les fondements même de l’univers. Des questions du type « le fondement de George a t il des limites ou est il infini ? ». Des questions spirituelles qui élèvent Kaiv’ pendant que les autres se perdent dans l’excitation d’une pipe pas chère et sûrement édenté.

 

 

Puis une pipe payante, et ça il savait qu’il n’y aurait pas le droit. Soyons pragmatique, le délégué du Darfour était l’Apollon ; une beauté qui ne peut laisser la gente féminine indifférente. Mais ce n’est pas qu’un mètre soixante de beauté et d’élégance pure, oh que non. C’est aussi un esprit vif et acéré, un individu qui fut capable d’apprendre la table de 3 en mois de 6 mois. Et tout cela l’advocado en avait pleinement conscience. La Chinoise Mexicaine tomberait sûrement sous son charme, comme la moitié de la ZAD, et cela ne faisait nul doute pour lui. Nul besoin de payer quand on est le plus beau des délégués !

 

 

Alors pourquoi honorait-t-il l’expédition de sa divine présence ? Certains évoqueront les obligations de délégués du Darfour, et ce n’est pas faux. Il faut bien de temps en temps s’assurer que tout se passe bien. Mais dans le fond, il avait un objectif secret … Sa quête de Saint Georges Clooney restait au point mort. Nul avancé … Une voix dans sa tête, celle du docteur Ross, qu’il préférait avoir dans son cul, lui intimer l’idée de venir. La ZAD cachait un secret c’était sûr. Ils savaient quelques choses, c’était peut être une relique de Georges ou autres. Si la Roussie a besoin de pipes pour survive, elle a besoin d’un Clooney pour vivre et prospérer. Kaivayne, noble héros d’une époque sombre était prêt à sacrifier son tour de pipe pour l’humanité, pour Georges, pour Clooney.

Ce texte vaut une bière !
Tout commença par un grand fracas initial, faut dire que Jacky n'était pas équipé pour assimiler la notion d'inertie. Encore un génie celui qu'avait décidé de mettre des planches en bois sur des bâtons à cet endroit. Qui a besoin de marcher là dessus? Putain c'est pour les poissons la flotte. Sur cette pensée et animé par la trique qu'il se coltinait depuis des heures, Jacky se dit qu'il devrait lui aussi tenter sa chance avec Samantha.

Ils pénétrèrent dans la ZAD comme dans un codétenu innocent fraîchement débarqué, sans résistance efficace. Bien vite Jacky avait pris possession des lieux. Sa frustration grandissait à mesure qu'il ne trouvait pas M'am Sussada. 
La famille avait passablement ignoré les 3 papis la tremblotte qui avait tenté de les arrêter et ils se mirent à fouiller le bled.
Mike et Jimmy partirent promener Sebright sur la plage, il ne tenait plus en place.

Jacky entreprit d'ouvrir les bicoques en s'allumant une clope.
A la troisième porte fermée à clef, il perdit patience. Dans ce cas là c'est toujours avec la tête q'un bon Connor résoud ses problèmes. Quelques pas d'élan et Jacky plongeait, cheveux roux en avant, au travers de la porte du garage.
Dans trou une vision trouble et dansante, bardée de petites étoiles s'offrit à lui. Y'avait des gonz attachés les mains dans l'dos par l'devant. Y bavaient. La rage sans doute. Jacky connaissait bien ils l'avaient tous choppée avant leur 5 ans.
Ne prenant que son immense courage il passa au travers du trou pratiqué, guidé par ses envies impérieuses. A l'intérieur, des rafiots. La chinoise méxicaine aimait ça les bateaux. Il touchait au but. 

Un mouvement sur sa gauche


- M'am Sussada ?

Un mouvement rapide sur sa droite.

Bang !

Un réflexe et un corps tombait à ses pieds. Alors que du sang se répandait à sur ses chaussures , pissant d'un corps au cheveux bleu, qui ....

Hey ! Mais t'es bien gaulée toi !

Jacky balança sa clope par dessus son épaule, gentleman avant tout, et arracha les vêtements de la jeune femme. Elle était encore frétillante quand il la pénétra sans retenue.
Elle séteignit pendant ses va-et-vient frénétiques sans qu'il s'en aperçoive. Pas plus qu'il ne s'aperçut de la fumée naissante du tas de matériel embrasé par son mégot.
C'est après l'extase qu'il comprit par contre très vite qu'il allait falloir filler. Sans un regard pour le corps désormais sans vie, il fila sans prendre le temps d'ouvrir la porte aux baveux qui partageraient son sort funeste.


- Rien à signaler ici les gars ! lança-t-il à la famille en sortant de là.
On s'active, on charge tout ce qu'on peut dans les b'teaux, on s'retrouve sur l'plage!






 
salut les suce verges! Alors on fait une partouze?