Chapitre débuté par Yola
Chapitre concerne : Yola,

[ Je reporte ici les versions corrigées des dossiers présents dans la section "Parapluie" qui ne sont pas liées à l'évolution ou l'arrivé de Yola dans le monde de Fractal ]
Dossier : 22
Il claqua la porte du taxi, saluant d'un geste précipité de la tête le chauffeur qui parti à bord de son destrier de métal vers de nouveaux clients, la pluie tombante avait pris la décision de nettoyer les rues et les pauvres hèrent qui avait eu l'audace de sortir, bien qu'appréciant la pluie Yola du accéléré le pas en direction du box ou s'abritait l'employé en charge de la sécurité.
Il présenta sa carte de détective à la typographie où l'on pouvait retrouver par les lettres arrondies et la couleur choisie, la touche de sa compagne. Si le patron de l'entreprise avait bien fait son travail, Yola n'aurait pas à rentrer dans trop de détails.
" Ah, vous êtes là pour ses histoires de sabotage ? Si vous voulez mon avis..."
Et il donna son avis, rentrant dans des détails qui ne concernait et n'éveilla que peu l'intérêt de notre homme, il avait déjà plusieurs pistes, et même quelques idées, il avait seulement besoin d'entrer dans le bâtiment et avant que sa patience ne s'émousse totalement, il leva une main et offrit une réponse dans un sourire cynique et contagieux :
" N'avez-vous pas l'impression que je me trempe, mon ami ? "
L'employé en fut confus, visiblement, il avait été totalement happé dans ce qu'il disait soulagent probablement son inquiétude vis à vis de la sécurité des lieux. Lentement, le portail s'ouvrit le vieux système mécanique offrait grincement et métal qui tinte contre le bitume, Yola ajustant sa capuche s'engouffra en direction du parking qui habituellement dû aux nombreuses voitures été moins grisâtres plus colorés beaucoup plus vivant. À mi-chemin, il leva la tête en direction d'une fenêtre plissa les yeux et inclina la tête en guise de présentation face à toutes les pairs yeux du bâtiment qui avaient observé sa venue, la plupart des yeux vitrés avait été brisé, c'était l'incident numéro deux de sa liste, les fenêtres qui explosent sans aucune aide.
La vie avait quitté les lieux, Yola pouvait entendre ses pas résonnait dans le bâtiment, sortant son portable, il lissa le résumé que lui avait envoyé Marla, la première anomalie avait eu lieu en salle de pause, une machine à café semblait avoir été de forte mauvaise humeur et avait décidé d'asperger n'importe quel imprudent qui ose se servir d'elle.
Il alluma une cigarette, après tout il était seul dans le batiment, il n'avait donc que faire des conventions de plus l'odeur du tabac lui éviterait de sentir cette drôle d'odeur âcre qui été maladroitement dissimulé derrière celle de la javel, admiran fausemment les affiches soulignant qu'il était bon de croire dans les valeurs de l'entreprise, Yola continua sa route en direction de la salle de détente.
Elle était d'une grande simplicité, des machines diverses pour le café ou les encas, plusieurs tables et chaises, tous de la même teinte et forme, probablement achetés en lot via un catalogue, par souci d'économie probablement.
Yola fit couler un mince filet d'eau sur le foyer de son bâtonnet à cancer et le laissa dans l'évier. Une affiche attira son regard, elle représentait quelques employées sortant du lot : celui qui déblaie le plus rapidement, celui qui soulève le plus de poids, le plus polyvalent, celui qui fait le plus d'heures. Cela ne provoqua qu'un long bâillement a sans décrocher la mâchoire à l'enquêteur. Le taux de performance n'était pas intéressant, contrairement à la liste de noms, mais cela n'était qu'un habile stratagème pour créer une espèce de compétition malsaine entres les employées.
L'odeur âcre était plus présente dans cette pièce, rien n'avait su la faire disparaître. Aucun employé n'aurait pu la sentir, le fumet des repas ainsi qu'une importante qualité manquante les empêchaient de pouvoir sentir cette horrible fragrance.
Yola se tenait face à la fameuse machine à café, levant légèrement la tête lisant probablement les diverses propositions soluble de café mise à disposition, les épaules relâchées, il glissa une pièce dans la fente, portable dans une main, il appuya sur la touche qui avait été indiquée dans les notes et se décala sur le côté.
Un vrombissement sourd sorti de la machine, l'étrange odeur fut plus présente jusqu'à que le fluide caféiné jaillissent dans toutes les directions, la fumée qui s'échappait de l'évacuation laissant supposer qu'il était bien plus chaud que prévu. Heureusement, Yola avait été mise au courant du prétendu dysfonctionnement, sinon il ne fait aucun doute qu'il aurait subi quelques légères brûlures de l'évacuation.
Il regarda, longuement la marais qu'avait vomit la machine, le but de ce dysfonctionement était clairement de nuire de faire du mal à autrui, ce genre de choses arrivent souvent, mais peu de saboteurs s'attaquent au machine à café, cela ne cause pas assez de dégats, juste quelques ralement, Yola mis fin à son inspection ne ramassant pas les dégats qu'il avait occasioner, il fallait maintenant se rendre à l'étage pour voir de plus près les fênetres qui furent défaite.
Il s'arrêta sur la dernière marche qui séparait les deux univers de l'entreprise, la décoration était totalement différente à l'étage faussement chic, des plantes, des tableaux une fontaine à eau, l'étage transpirait l'apparat, il alluma une nouvelle cigarette, l'odeur c'était mue en quelques choses de plus désagréable rappelant toute le miasme qu'il été possible d'imaginer dans les égouts.
Yola flânait de fenêtre en fenêtre, observant l'extérieur, un pincement au cœur le saisit quand il arriva devant une lucarne qui donnait vue sur le portail, la pluie ne voulait pas en finir, s’infiltrant dans le bâtiment la ou les fenêtres n'avait plus de vitre son cœur s’alourdit d'avantages, comme si qu'elle chose de froid et humide serpenter autours de son palpitant pour l'étouffer, il jeta un coup d’œil derrière son épaule, plissant les yeux à l'intention de la porte.
Sans grand surprise Yola du mettre un genou à terre, farfouillant dans ses poches à la recherche de crochet enfin d'avoir accès au bureau, cela n'était qu'un jeu de patience et de logique, il fallait sentir toute la subtilité des barillets, et la serrure tintait au contact des crochets créant ainsi une mélodie qui était agréable aux oreilles de l'homme, jusqu’à la note final ou il pu abaisser la poignée pour pénétrer la pièce qui lui avait été interdite d'accès.
Comme si cela avait été sa place, il s’installa derrière le bureau, promenant un index sur le clavier de l'ordinateur, il n'avait aucune patience avec la technologie, il tapota distraitement une touche ou deux, réfléchissant à la marche à suivre admirant avec un sourire en coin le décor : Une table ronde, des plantes des sièges en cuir, un bureau parfaitement ordonné, une corbeille à papier vide, pas de poussière apparente comme si un soin particulier été demandé pour cette pièce, une armoire avec des classeurs contenant probablement des fiches sur les dépenses et le personnel et le détail le plus important une imense baie vitré qui donnait directement dans le cœur de l'usine.
Il fit rouler la chaise jusqu’à la fenêtre ne levant son séant uniquement quand sa destination fut atteinte, il passa ses bras derrière son dos et avisa l’entrepôt, levant légèrement la tête, il s'imaginait sans mal ce que pouvait ressentir l'individu à qui appartenait ce lieu, quand l'usine battait son plein, il observait des fourmis heureuse d'avoir la chance d'avoir un emploi, dans un haussement d'épaule il coupa court à son jugement, et entreprit de farfouillé les classeurs sur les employées.
Les relents d'égouts étaient toujours présents, s’intensifiant au fur et à mesure qu'il progressait dans les dossiers, des informations classiques nom, prénom adresse, situation familiale, avis de la direction sur la personne. Ah l'époque ou les employées avait un carnet à remettre à l'employeur pour qu'il note leurs horaires de départ et d'arriver ainsi que quelques appréciations sur leurs travail avait simplement évoluée, c'était les enfants qui avait hérité de ce type de carnet, un frisson le parcourut, il avisa la pièce et remit le livre à sa place, il ne lui restait qu'une dernière anomalie à vérifier, avant de pouvoir choisir la meilleur façon d'agir.
Alors qu'il retraversait le couloir en direction de l'étage inférieur, une vitre éclata sur son passage puis une autre plus éloignée, visiblement son furetage n'était vraiment pas apprécier, serrant les dents, Yola redoubla de prudence pour quitter l'étage, au vu de la réaction à propos de son investigation, il tenta de sortir prendre l'air mais la porte qui été ouverte à son arrivé était maintenant close et dans le reflet de la partie fenetré de l'entrée, il pouvait voir un univers malade, froid et austère.
Pour rejoindre le monde altéré, il n'y avait que peu de solution, le dective occulte sorti une craie d'une poche et s'atella à la conception d'un cercle qu'il décorait de divers symbole, certains basique aurait pu être reconnu du grand publiques, d'autres plus obscures demandait quelques bases dans de sombre art et la poignée de sigil restant était de son crue, il ne lui restait cas choisir le catalyseur principal : Chant, Danse, Douleur ou Orgasme, une courte grimace s'afficha sur son visage, il venait d'épingler une note mentale à propos de la danse et il choisit l'option de la douleur, il se mouva au centre du cercle et s'entailla l'intérieur de la main.
La transition avec la réalité et le voile fut brutale, l'ambiance et les décorations entre l'entreprise du monde réel et celle altéré été totalement à l'opposé, les émotions laisse bien souvent des empreintes légères sur le monde réel et pour pouvoir tout l'impacte que cela pouvait avoir, il fallait franchir le voile et être prêt pour ne pas en ressortir corrompu.
La froideur et l'insalubrité des lieux, l'odeur rance de la chair en décomposition été dominante, celle des produits d'entretien été masquée quasiment inexistante pour ceux n'ayant pas le tarin fin, les murs était jaunit couvert de tâche maronâtre, les affiches été délévé taguer d'injures et autres dessin obscènes, le sol collait attenuant le bruit des pas ne laissant que le bruit de sussion de la semelle qui se décollait et dans un soupir Yola se dirigera en direction du coeur de l'entrepot, cherchant à attanuer mentalement l'horrible résonnement des échos plaintif des fragments des émotions torturé.
Certaines créatures rodaient, fuyaient la présence de Yola, de par le fait qu'il était vivant, il était une source de lumière éblouissante pour les amalgames plus faible, la peur, le chagrin n'était pas téméraire, préférant rester dans leurs coins ou détaler quand l'homme se frayait un chemin à la recherche de l'homuncule qui avait établi son règne ici.
Le voila dans le coeur de l'entreprise les machines était couvertes de poussière et de rouille, se muant d'elle même dans un bruit qui couvrait les lamentations des habitants de ce monde, un bruit de chaine ce fit entendre au loin, il fallait réagir immédiatement, se cachant derrière une presse, Yola observait l'autre bout, l'endroit d'ou provonait la source du rafus.
Une créature informe émaciée se mouvait avec peine entre les machines titubant parfois sur l'une d'elles, et quand c'était le cas elle rouait la machine de coups tout en braillant de sa voix rauque et brisé, elle n'était que colère et haine rendant ainsi son passage à tabac imprévisible. Ses bras efflanqués étaient recouverts de chaîne et de morceau de verre, ses yeux étaient dépourvus de paupière, ses lèvres étaient absentes laissant voir une dentition digne d'un requin bien que certaines dents étaient manquantes, tout son corps semblait avoir été meurtri et suppurait la maladie et le mal-être, ses blessures ne semblait jamais avoir connu le repos d'une cicatrisation saine.
Elle poursuivait sa route, sa routine, de sa démarche désarticulé, tel un patin en proie avec un marionnettiste néophyte, completement nue et plus elle se rapprochait plus son odeur devenait perceptible mélange dément d'un parfumiste fou, il n'était question que d’excréments, de chair malade et d'alcool de piètre qualité, l'éclairage blafard des lieux et le fait qu'il ne soit pas continue soulignait l'horreur de sa macabre apparance.
Le cœur de Yola battait furieusement dans sa poitrine cherchant probablement à fuir cette sensation qui s'insinuait et entachait dans ses vertus et principes, d'une inspiration, il chassa la sensation de nausée qui grandissait dans ses entrailles, il n'y avait que peu de solution pour combattre cette chose, il fallait espérer qu'aucun autre amalgame ne viendraient la soutenir.
Cette fois, il plongea sa main dans sa poche intérieure, il était méthodique certes, ses vêtements disposait de moultes poches, mais elles avaient toute une attribution particulière. Il en extirpa cinq anneaux d'argents, leurs dessus était bombé, décoré de plusieurs gravures stylisées,de mot ou suite de chiffre,chaque bague dégageait une odeur de sauge et de sel, si le dialogue n'était pas possible et que sa survie était en jeu, il n'avait plus beaucoup de solution, il décora donc l'index, le majeur et l'annulaire de sa senestre, son autre main n'aurait que l'index et l'annuraire pourvue de décoration. La créature se rapprochait avait elle senti sa présence ? Ou sa chaleur d'être vivant ? Yola retira à en hâte sa veste et ses chaussures et ses chaussettes, s'entaillant volontairement la plante du pied dans une grimace, son plan tout aussi démentiel était prêt.
" Te rends-tu compte de ton comportement ? De la situation que tu engendres ? "
Yola planta ses yeux dans ceux de la créature qui ne répondit qu'en grognant visiblement contrarié tant par la question que par la lumière qui émanait d'un vivant, elle chargea bêtement, violemment même un animal acculé aurait eu plus de raison.
L'esquivait ne fut pas un problème, mais reprendre appuis sur le pied qu'il avait lui-même meurtrie oui, un râle de douleur s'échappa, mais il devait tenir bon, l'allée entre les différentes machines toujours en animation rajoutant un rythme assourdissant à cette bataille, l'espace entre les diverses machineries été suffisant pour le plan qu'il avait en tête.
La créature n'usait que de force brute et de sauvagerie ses mouvements était toujours imprécis, brusque, mais si jamais elle touchait, l'effet serait dévastateur, elle déchirait probablement Yola et s'il perdait l'équilibre elle ruerait de coups, rien que l'idée d'imager l'impacte des coups sur sa chair, fit frémir le vivant.
Heureusement, il avait pour lui son sang-froid et son agilité, chaque mouvement été savamment choisi, Yola frappait pour contraindre ce miasme haineux à un endroit précis, chaque esquive n'était qu'une façon de partir vers un autre point, petit à petit dans ce tango mortel et macabre, se dessinait petit à petit au sol un cercle sanguin.
La bête infâme souffrait à chaque fois que Yola portait un coup, l'argent des bagues et les diverses runes ainsi que le sel et la sauge avait l'effet d'un poignard qui transpercer sa chair, chaque fois qu'un coup été porter le son sourd du métal qui martèle la chair se lié avec la symphonie des machines, les autres amalgame était mortifier ou captivé devant cette lutte entre la folie et la raison, certaines hurlait émoustillé pourr ce qui n'était que violence, il eu été probable que si il été doter d'apareil reproducteur celui ci serait gorgée de sang, tant la scène pouvait ramener aux instincts primaire.
L'homonculus d'haine arriva à porter un unique coup, Yola chuta au sol, toussant à en perdre la raison, il cherchait à faire revenir l'air dans ses poumons, il pouvait sentir toute la force qu'avait mise par la chose né des émotions de l'homme, la panique le gagna quelques minutes, il se redressa chancelant, il n'aurait pas la force de se redresser au prochain impacte, il subirait la colère de la bête.
Mais la créature n'en profita pas, ne chargera pas, elle hurlait et semblait retenue par des chaînes invisibles, le cercle avait pris forme et illuminé de sa couleur rougeâtre, les ombres de l’entrepôt altéré. L'homme pouvait enfin faire preuve de faiblesse, il boitilla jusqu’à l’extrémité du cercle tandis que le tas d'émotions bouillonnant de rancœur frappait contre le mur invisible de sa prison, de l'écume apparaissait au coin de ses lèvres. Yola traça de nouveau quelques sigils au sol, haletant à bout de force, il lui restait à peine assez de volonté pour détruire la chose, suffocant, il traça le dernier symbole et dans un hurlement de peine et de douleur rugit par l'homoncule, il commença à fondre devant un simple amas de chair bouillonnante.
Le détective occulte retourna lentement vers ses affaires, les épaules avachies la mine tirée, son pied lui été douloureux qu'il marchait sur la pointe, il bluffa inutilement : levant son poing bardé de ses bagues en direction des créatures restantes, mais elles étaient toujours bien trop peureuse pour tenter de finir goûter la chair de l'humain.
Il récupéra ses bien et s'en retourna en direction du portail d'entrée qu'il avait créé. L’extérieur lui avait horriblement manqué, la pluie avait cessé et la journée touchée à sa fin, boitillant jusqu'au milieu du parking, il saisit son téléphone ignorant les moultes messages, derrière le voile, il n'y avait pas de réseau et le temps s'écoulait de manière différente.
Il envoya un message à un contact qui lui devait un service pour qu'il vienne nettoyer les lieux aussi bien sur le premier plan que le second puis il composa le numéro de Marla, l'appareil sonna une fois puis deux et enfin sa voix se fit entendre, et le cœur de notre homme s'emplit d'une douce chaleur :
" Tout va bien..? " S'enquerit elle
" Oui, bon, visiblement, aucun dialogue n'était possible... Mais bref... Hum, tu te souviens la dernière fois sur le Millénium, tu voulais danser non..? " Il se concentra fortement sur la voie de Marla et de toute la douceur qui en émanait.
" Je me souviens oui, tu ne semblais pas être à l'aise avec l'idée. "
" Et bien cherche donc dans nos vieux morceaux ceux qui nous plaisent, nous danserons à mon retour et nous pourrions finir par une balade... Non ? "
" Oh, et en quel honneur..? " Le taquina t'elle
" Hum... Je pense avoir compris pourquoi tu voulais danser la dernière fois... J'arrive" conclu t'il.
Il clopina vers l'exterieur du parking cherchant du regard un taxi, la soirée s'annoncerait bien plus paisible, plus saine, il devait évacué le miasme du voile qui lui collait encore à la peau cherchant à souiller son âme.
Pour ne jamais succombait aux torrents des émotions qu'il recontrait la bas, leurs deumerre l'aider à reprendre pied, les chats égalements surtout sa petite favorite bien qu'il dissimulé tout l'affection qui lui portait, enfin il pensait le dissimulé adroitement, mais sa douce n'était pas dupe.Et Elle serait la, l'unique femme qui arrivait à le comprendre tout comme il arrivait à la comprendre, celle qui d'un geste et un sourire arrivait à chasser toute la crasse qui s'était accumulé au fond de lui, ainsi si la soirée s'annonceait aussi parfait qu'il l'esperait, il n'aurait pas besoin de s'isoler dans la prison qu'il avait fait construire dans leurs sous-sol.